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deadlands:vivre_n_est_pas_un_crime:volume1:un_ranch_perdu_dans_la_lande

Ceci est une ancienne révision du document !


Un ranch perdu dans la lande

Enfin libres !

Les PJ et Faucon Solitaire sont normalement enfin libérés de leurs “obligations”, le Maire et l'agence Pinkerton continuent de leur côté leurs réflexions pour savoir comment communiquer à la population de Denver qui attend toujours des explications, mais ce n'est pas du ressort de nos héros. A moins qu'un gratte-papier ait l'envie d'écrire un article qui paraîtra dans un journal local, à ses risques et périls, car selon la teneur de l'article, les autorités locales pourraient être passablement énervées.

Certes, le niveau de Terreur autour de la Gare de Denver est monté d'un cran, et ce quartier est plus évité.

Les héros peuvent donc décider de leur avenir après ces quelques jours très mouvementés. De quoi déclencher des vocations pour certains, face à la découverte brutale, pour les PJ débutants, d'un univers qui renferme décidément bien des mystères. Avant, ils ont besoin de repos, la psybombe leur donne toujours des rêves dérangeant probablement… de quoi aller guérir tout ce petit monde dans un bon sommeil oniro-thérapeutique non ?

Invitation double de Faucon Solitaire

Invités à un repas

Faucon solitaire, a l'issu de sa libération, ira chaleureusement remercier les PJs, et les invitera à déjeuner dans un restaurant de qualité et discret, en dehors des rues animées du centre de Denver.
Après ce qu’ils ont vécu, les personnages seront peut-être ravi, et ils seront aussi probablement curieux d’approfondir leurs questions avec lui. Ils pourront noter bizarre le fait d’une telle invitation. En effet, c’est bizarre, mais cet Indien est particulier. Pendant le repas (du midi), Faucon Solitaire leur expliquera alors qu’en effet son choix n’était pas fortuit à la gare. Il leur dira qu’il était chargé d’identifier un groupe d’étrangers à la ville de Denver (avec un peu de Chance, les PJs souvent haut en couleurs feront tout à fait l’affaire, s'ils ne sont pas étrangers, il peut leur offrir une explication plus mystique indienne qui a lu en eux un potentiel supérieur) afin de libérer un homme retenu prisonnier dans un ranch non loin de la ville. A Agata. Une journée de cheval de distance (partis le matin, ils arriveraient au crépuscule avancé).

Il ne sait pas qui est la personne prisonnière (enfin… il ment, mais il tiendra son mensonge), et il ne donnera pas le nom de la personne qui lui a donné cette tâche de recrutement. “Je préfère garder ce contact pour moi.”
Si les personnages insistent, manque de savoir vivre dans un lieu aussi distingué (en décallage avec l’Indien, mais très huppé et distingué - qui devraient leur mettre la puce à l’oreille : l’Indien a du fric, et ce n’est pas forcément sa boutique de médecin qui peut lui permettre d’inviter autant de gens dans un resto pareil - la personne qui l’a mandaté doit donc être riche, et probablement puissante), Faucon ne répondra pas. Un “non, je ne veux pas répondre.” est tout a fait recevable dans la culture américaine, et en général il est respecté. L’Indien pourrait leur faire jusqu’à remarquer que leur comportement devient insultant…

S'ils acceptent d’aller libérer ce prisonnier, tout va pour le mieux pour cette partie de l’histoire. Dans le cas contraire, ils pourraient mettre un terme à cette campagne… Il faudrait alors trouver un moyen que l’histoire les rattrape, il y en a plusieurs, mais ne sont pas détaillés ici.

deadlands/vivre_n_est_pas_un_crime/volume1/un_ranch_perdu_dans_la_lande.1313947658.txt.gz · Dernière modification: 2019/09/20 15:08 (modification externe)